Notre savoir-faire

Depuis tout petit Frédéric a la cuisine dans la peau. Par gourmandise bien sûr, mais aussi par amour, et ça, ça ne s’explique pas : « Quand j’ai commencé mon apprentissage, je me suis dit que faire un métier où j’émincerais des champignons de Paris, ce serait le top ». Et aujourd’hui, Frédéric a mis à la carte du Florima des pizzas aux champignons impeccablement frais. Il travaille même le cèpe l’automne venu. Tout comme au restaurant !

Italia Ciao

Italia Ciao !

Frédéric n’a jamais mis un pied en Italie. Pour quoi faire ? Il a tout appris à Lannemezan, du maître-artisan Jean-Jacques Despaux, premier prix en créativité au championnat mondial de pizzaïoli à Naples 2012 et vice-champion du monde 2013. Mais il rêve tout de même d’aller un jour à Bologne écumer les trattorias.

Attentif au produit, le chef pizzaïolo recherche l’authenticité : il utilise de la mozzarella et des produits de qualité. Le Florima met aussi en valeur quelques producteurs locaux comme la jeune brasserie In’Oc installée à Lalanne-Trie, à l’entrée de Trie-sur-Baïse.

Mais c’est quand il pétrit et étale sa pâte que Frédéric est le plus méticuleux. Ne lui parlez pas de laminoir, « tout juste bon à faire des crêpes ». La pâte, il la travaille à la main (coucou la tendinite), pour l’aérer et obtenir une pâte gonflée, tendre et croustillante. Une véritable pizza quoi. « J’ai mon secret de fabrication. C’est une pâte que je cogite et que j’améliore depuis pas mal de temps. » OK Frédéric, mais lancer la pâte à pizza en l’air, c’est pour se la péter pas vrai ? « Non, ça s’appelle être pro ». Et ça s’appelle avoir le niveau pour finir vice-champion de France de la catégorie photo « la plus belle pizza » en 2010. Le Florima, ti amo !

Rouge Ferrari

Rouge Ferrari

Frédéric est toujours en rouge. Pour quelle raison ? Meilleure aérodynamie pour le lancer de pâte ? Non, simple porte-bonheur, une superstition comme en ont souvent les grands pros.